Colonel de gendarmerie (ER), docteur en science politique et chroniqueur à la RDN. Chef du département de la coopération de sécurité pour l’OSCE en Albanie.
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Avec cette chronique détaillée d'un traité non ratifié chargé d'entretenir la transparence sur le rapport des forces militaires en Europe, on mesure à la fois le chemin parcouru depuis les derniers temps de la guerre froide et l'intérêt de disposer d'un instrument d'échanges entre Européens pour promouvoir une véritable sécurité coopérative. Lire les premières lignes
L'OSCE, la patience stratégique (T 402)
- Guy Vinet - 4 pagesEntretien avec Monsieur François Alabrune, Ambassadeur, Représentant permanent de la France auprès de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).
L’histoire de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), son déploiement, ses champs d’action privilégiés, la diplomatie préventive en particulier, expliquent la « furtivité » de cette organisation qui a émergé de la guerre froide pour créer un espace de paix et de coopération de Vancouver à Vladivostok. Lire les premières lignes
La chute du mur de Berlin, le 9 novembre 1989, a marqué symboliquement la fin de la guerre froide et la victoire, concomitante, de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (Otan). En novembre 2010, celle-ci va adopter un nouveau concept stratégique pour succéder à ceux (déjà post-guerre froide), de 1991 et de 1999. Pour l’Otan, l’heure est au bilan du passé récent, aux choix des possibles et à la caractérisation de nouveaux enjeux en vue d’affirmer sa légitimité et de renforcer la relation transatlantique. Lire la suite
Limitée par ses dimensions géographiques, récente par son histoire, l’Albanie est un pays qui frappe par sa singularité au sein de l’ensemble des Balkans occidentaux. La diversité et la spécificité de ses caractéristiques en font un État dont l’intérêt géostratégique attire l’attention européenne et internationale. Lire les premières lignes
Entretien avec Marc Perrin de Brichambaut, secrétaire-général de l’OSCE, 8 mars 2011 (2/2) (T 98)
- Guy Vinet - 5 pagesL’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) est une organisation de sécurité régionale déployant un large éventail d’activités qui relève des trois dimensions de sécurité: humaine, politico-militaire et économico-environnementale. L’entretien évoque le rôle et les défis qu’affrontent le secrétaire-général et l’organisation.
Entretien avec Marc Perrin de Brichambaut, secrétaire-général de l’OSCE, 8 mars 2011 (T 94)
- Guy Vinet - 5 pagesL’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) est une organisation de sécurité régionale déployant un large éventail d’activités qui relève des trois dimensions de sécurité: humaine, politico-militaire et économico-environnementale. L’entretien évoque le rôle et les défis qu’affrontent le secrétaire-général et l’organisation.
La Bosnie-Herzégovine, quinze ans après Dayton (T 54)
- Guy Vinet - 5 pagesLe bilan de la situation politique en Bosnie-Herzégovine est mis en exergue dans cet article. Ainsi quinze ans après l’indépendance, des progrès sont notés mais limités par la présence internationale qui brouille le rétablissement de l’équilibre dans le pays.
Le Sommet d’Astana organisé par le Kazakhstan porte en germe le nouveau rôle d’une OSCE qui se régénère en relançant des dossiers de fond sur l’articulation entre confiance, sécurité et transparence et veut prendre toute sa place dans l’architecture de sécurité eurasiatique.
Ce sont les récents engagements militaires de l’Otan qui conditionnent le nouveau concept stratégique dont l’Alliance a besoin pour s’établir au début du XXIe siècle, sa capacité opérationnelle et ses partenariats, notamment avec la fédération de Russie.
Depuis 1990, l’OSCE dispose d’une présidence tournante. En 2010, pour la première fois, c’est un État issu de l’ex-Union soviétique, le Kazakhstan, qui s’est vu attribué cette présidence. Celle-ci peut-elle insuffler un élan nouveau à une organisation dont la dynamique semble enrayée ?
Le président russe Medvedev a présenté en juin 2008 une initiative de politique internationale visant à adopter un nouveau traité de sécurité paneuropéenne. Cette proposition, accueillie diversement, a mis en lumière une organisation peu visible dans le champ géopolitique euro-atlantique : l'Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC). Évaluer cette structure et sa capacité à jouer un rôle dans les problématiques sécuritaires régionales en double concurrence avec l'Otan d'un côté et l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) de l'autre est l'objet de cette réflexion.
Voilà dix ans que l’Otan achevait son opération aérienne « Force alliée » menée contre la République fédérale yougoslave du président Slobodan Milosevic. Après 78 jours de bombardements, celui-ci décidait d’accepter les exigences de la communauté internationale, exprimées par l’ONU et l’Otan, concernant la situation au Kosovo. Que reste-t-il aujourd’hui de cette opération sans précédent ?
Le début du mois d’avril 2009 a été européen pour le président Obama. Au cours de ses escales sur le Vieux Continent, il a donné une dimension concrète à la nouvelle politique des États-Unis envers l’Europe. Nous sommes ainsi passés, dans une certaine mesure, du fantasme à la réalité, du discours aux actes. Un premier bilan s’impose.
Avant sa prise de fonction officielle le 20 janvier 2009, le président américain Obama avait déjà largement constitué son équipe. Celle-ci est maintenant en place et confirmée ; elle amène un lot de surprises limité. Avec cette nouvelle Administration, quelle appréciation pouvons-nous porter sur les éventuelles évolutions à prévoir dans le domaine des relations transatlantiques (États-Unis/ Europe/Otan) ?
Au début de l’été 2008, avant que n’éclate la crise en Géorgie, le président russe propose qu’un nouveau traité de sécurité paneuropéenne soit discuté par tous les acteurs concernés. Cette initiative, dont le contenu semble encore assez vague, est diversement accueillie par les autres États. Compte tenu de l’espace géographique considéré et de l’objet du traité envisagé, l’OSCE, qui a tenu son dernier Sommet fin 1999 à Istanbul, paraît toute désignée pour constituer le cadre de discussion et de préparation d’un tel document.
La communauté euro-atlantique a fait face durant l’été 2008 à une montée en tension brutale de la crise géorgienne débouchant sur des affrontements armés entre les forces militaires russes et géorgiennes. L’OSCE, impliquée depuis longtemps dans cette crise parfois oubliée, s’est employée avec rigueur à tenir le rôle dévolu par les États membres. Elle a dû surmonter de nombreuses difficultés et s’est révélée un acteur complémentaire de l’Union européenne.
Alors que la campagne présidentielle américaine entre dans sa dernière ligne droite dominée par la crise financière internationale, d’autres enjeux nous intéressent. En politique étrangère, les candidats des deux grands partis se sont exprimés sur le lien transatlantique. L’Otan et l’Europe sont concernées par ce débat et il semble opportun d’envisager, voire d’anticiper, le résultat de ces élections qui pourraient apporter des évolutions significatives pour les relations entre les États-Unis et l’Europe.
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